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L'Ecole Supérieure de Fonderie et de Forge
L’Ecole Supérieure de Fonderie et de Forge est un établissement privé d’enseignement technique supérieur reconnu par l’Etat.
Au delà des formations de très grande qualité dispensées par nos enseignants, les atouts de l’école découlent d’une relation forte et bien comprise avec les industriels. Ce sont notamment :
- Pour les élèves ingénieurs de la filière initiale par apprentissage : un placement en entreprise assuré par l’école permettant une rémunération substantielle pendant la durée totale des études et une dispense des droits de scolarité
- Pour les élèves de l’année de spécialisation : la possibilité d’un contrat de parrainage pendant la formation, constituant un véritable tremplin à l’embauche
- Pour les jeunes diplômés de nos trois filières (formation initiale, formation continue et année de spécialisation) : une insertion professionnelle très rapide, pouvant conduire par la suite à des évolutions de carrière jusqu’aux responsabilités les plus élevées de l’entreprise
L’ensemble de ces atouts harmonieusement conjugués expliquent pourquoi les élèves issus de l’ESFF contractent très facilement un emploi à la sortie de l’école. Les durées moyennes de recherche d’emploi sont extrêmement faibles (quand les élèves ne sont pas embauchés avant même leur sortie de l’école) et les salaires d’embauche offerts sont tout à fait comparables à ceux qui sont proposés aux ingénieurs dans les autres branches industrielles.
Genèse
L’idée de création de l’école supérieure de fonderie (ESF) est née des conclusions d’un mémoire sur l’apprentissage présenté par Eugène Ronceray au premier congrès international de fonderie, organisé à Liège en 1921, par les Associations techniques de fonderie belge et française. Elle fut rapidement reconnue par l’Etat, le 30 juin 1925.
Le 8 janvier 1924, l’école supérieure de fonderie reçoit sa première promotion dans les locaux de l’Ecole nationale supérieure des arts et métiers (ENSAM, centre de Paris). Elle occupera ces locaux jusqu’en janvier 1949, pour s’installer ensuite provisoirement à la Sorbonne (de 1949 à 1952), puis au 69 de la rue Corvisart (de 1952 à 1955). Le 8 septembre 1955, l’ESF s’installe dans ses propres murs, à Bagneux. Elle y séjournera pendant 22 ans, avant d’emménager à Sèvres. En 1995, L’ESFF intègre le Pôle Universitaire Léonard de Vinci jusqu’en 2008 où elle rejoint les laboratoires de recherche du Centre technique des industries de la fonderie (Sèvres).
Suite aux besoins exprimés plus récemment par les industriels de la métallurgie en matière de formation des ingénieurs, elle s’est ouverte aux métiers de la mise en forme par déformation plastique. Le 1er avril 2005, l’ESF devient officiellement l’école supérieure de fonderie et de forge (ESFF).
Consultez l'integralité de l'historique de l'ecole en suivant ce lien.
Vocation de l'école
La vocation de l’ESFF est de former les ingénieurs et les cadres supérieurs pour :
- Les industries de la transformation du métal, comprenant en particulier la fonderie et la forge (fabrication, méthodes, études, projets, recherche appliquée, qualité, gestion et direction d’entreprise, etc.)
- Les entreprises clientes ou fournisseurs de ces industries
- Les centres de recherche professionnels ou intégrés
Pour atteindre ses objectifs, l’ESFF dispense un enseignement équilibré, fondé sur des connaissances scientifiques solides, indispensables à la compréhention des mécanismes fondamentaux régissant le comportement des matériaux et à l’application intelligente des techniques (CAO, modélisation, simulation numérique, etc.).
Une réelle valeur ajoutée est apportée à toutes nos formations :
- par l’industrie, avec :
- une forte participation des industriels dans les activités de l’école
- des périodes de travail prolongées des élèves en entreprise
- par un corps professoral de très grande qualité, constitué d’intervenants choisis dans :
- les grandes écoles (Supméca, ECP, ENSAM, ENSCP, CNAM…)
- les universités (Paris XI Orsay, Versailles…)
- les centres de recherche (CTIF, CREAS…)
Association de Formation Forge et Fonderie
Sur catalogue ou sur mesure les formations abordent tous les domaines : de la reprise des fondamentaux aux perfectionnements des métiers en passant par l'organisation et les exigences de productivité.
A travers l’expérience accumulée par ses membres depuis 40 ans, A3F propose une démarche concrète.
Une ingénierie de formation active à votre service
Avec A3F, vous avez l'assurance que votre projet sera conduit dans le respect des règles. Notre objectif est de devenir un partenaire fiable et inventif pour toutes les entreprises qui mettent en avant le souci de la performance et le développement de la compétence de leurs équipes.
Des formateurs aux compétences éprouvées
Tous nos formateurs possèdent une pédagogie éprouvée dans de multiples sessions portant sur la métallurgie et les procédés de nos métiers; l'aptitude à s'adapter à chaque public, qu'il soit opérateur ou manager; une expertise reconnue au travers de leur vécu industriel et de leurs travaux en R&D ou en production; une solide vision technico-économique globale de la fonderie et de la forge grâce à une veille technologique exercée au quotidien par les professionnels d'A3F.
Des outils de formation complets et variés
Pour répondre à tous vos besoins, qu'ils soient globaux ou individuels, nous vous proposons des outils performants et sans cesse améliorés.
Site web de l'Association de Formation Forge et FonderieAssociation de Formation Forge et Fonderie
Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux
Le Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux, institut technologique composante d’ICEEL, labellisé Carnot, est le centre technique industriel de référence en métallurgie et transformation des métaux (fonderie, fabrication additive métallique, affinage, recyclage…) depuis 70 ans. Il accompagne les industriels dans leurs projets d’amélioration de leur compétitivité et leur développement en France et à l’international.
Missions
Les missions du Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux sont de deux ordres : d’une part des actions et travaux mutualisés pour les industries de la fonderie française d’autre part des prestations de services aux entreprises dans le domaine de la métallurgie et de la transformation des métaux (affinage, fonderie, fabrication additive, recyclage, forgeage…).
Au cœur de la filière de fonderie, le Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux fédère des fondeurs, des utilisateurs et des partenaires scientifiques et techniques et des concepteurs sur des actions de R&D et d’innovation à vocation industrielle.
Le Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux développe par ailleurs toute une gamme de prestations de services à destination des entreprises : recherche, développement et innovation en matériaux et procédés, analyses et expertises de laboratoires, conseil opérationnel et formation. Plus de 400 clients issus de secteurs industriels variés ont déjà fait confiance au Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux pour les accompagner dans leurs projets.
Organisation
La loi du 22 juillet 1948 définit les statuts juridiques du Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux. Son Conseil d’administration est composé de 17 membres comprenant des chefs d’entreprises fondeurs ou utilisateurs, des personnalités universitaires ou scientifiques et des représentants des personnels techniques de la profession nommés par arrêté du ministère de tutelle.
Le pilotage et la gestion du Centre Technique Industriel de la Transformation des Métaux sont assurés par son Directeur Général, Paul-Henri Renard, entouré du Comité de Direction et d’un Comité Technique et Scientifique consultatif composé d’industriels et d’universitaires.
Fédération Forge Fonderie
La Fédération Forge Fonderie est l’organisation professionnelle française des entreprises de mise en forme des métaux par forge, fonderie, fabrication additive et usinage associé. Regroupant 3 syndicats (Les Fondeurs de France, Association Française de Forge, Moule & Prototype), elle rassemble près de 180 entreprises industrielles adhérentes qu’elle a pour missions de représenter, défendre et conseiller.
Missions
- RASSEMBLER : Être la plateforme d’information, de réflexion et de mise en relation des différents acteurs de la forge et de la fonderie, du moule et du prototype en France
- CONSEILLER : Identifier et anticiper les évolutions de notre industrie, mettre à disposition de nos adhérents des outils d’aide à la décision stratégique
- REPRESENTER: Être le porte-parole de la Profession auprès de ses clients et des instances nationales et internationales sur toutes les questions techniques, économiques et juridiques qui la concernent
- DEFENDRE : Sensibiliser, former et agir pour la préservation des intérêts partagés par les entreprises de forge, de fonderie, de moule et de prototype.
Les métiers de la fonderie et de la forge
CAP
CAP Mouleur noyauteur : cuivre et bronze
À partir d'un modèle et de boîtes à noyaux, le mouleur noyauteur réalise le moule (ou l'empreinte) et les noyaux nécessaires à la fabrication d'une pièce de fonderie. Ces moules, généralement en sable, reproduisent en creux la forme exacte de la pièce.
Cet ouvrier qualifié contrôle la conformité de l'empreinte, vérifie le positionnement des noyaux avant d'exécuter la coulée de l'alliage. Il vérifie ensuite la dimension et la qualité de la pièce.
Il est employé dans les industries de robinetterie industrielle ou sanitaire, dans la construction navale et dans l'automobile, mais aussi dans l'ameublement, la décoration, l'industrie du jouet…
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CAP Outillages en moules métalliques
Ce diplôme forme des ouvriers qualifiés pour la fabrication des moules métalliques permanents, encore appelés « coquilles » ou « outils », destinés à produire des pièces de fonderie en grande série. Le titulaire du CAP prend en charge l'étude des dessins de définition et prépare des opérations à effectuer : l'installation des outils de coupe sur les machines d'usinage, le réglage, le chargement et le test du programme. Il réalise l'usinage sur tour avec des outils : fraiseuse, perceuse ou machine à électroérosion. Il assemble les différentes pièces usinées constituant le moule et assure les finitions : polissage, ponçage, ébavurage. Enfin, il vérifie le produit obtenu, fait les retouches éventuelles après essais (travaux d'ajustage).
Le mouleur peut aussi se voir confier la maintenance des moules métalliques d'un atelier, c'est-à-dire leur remise en conformité après utilisation.
Les diplômés peuvent travailler dans les entreprises spécialisées en plasturgie ou en réalisation d'outillages, les fonderies, l'industrie automobile ou aéronautique...
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CAP Ferronnier d'art
Le ferronnier d'art réalise, pour des bâtiments publics ou privés, tous types d'ouvrages en fer forgé (copies d'oeuvres anciennes ou créations contemporaines) destinés à la décoration intérieure (chenets, tables, lampadaires, objets...) et extérieure (rampes, grilles, portails...). Il travaille en atelier et peut collaborer, selon les commandes, avec d'autres corps de métier (architectes, professionnels du patrimoine...).
La formation est axée sur l'étude des procédés de fabrication (travail du fer et d'autres métaux, à chaud ou à froid), du traçage, des techniques d'exécution (travail du matériau et mise en forme) et du dessin d'art. Les élèves étudient également l'histoire de la ferronnerie afin d'être à même d'identifier les styles et les époques des ouvrages.
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CAP Outillages en outils à découper et à emboutir
Le titulaire de ce CAP fabrique les outillages de découpe et d'emboutissage (poinçons, matrices…) destinés à équiper les presses mécaniques ou hydrauliques qui façonnent les plaques de tôle. Pour les réaliser, il prend connaissance du dossier de fabrication : dessins de définition, liste des opérations à accomplir… Il règle le moyen de production : machine-outil traditionnelle (tour, fraiseuse…), machine à électroérosion ou à commande numérique. Il surveille l'usinage, contrôle la conformité des pièces obtenues. Lorsqu'un outil est composé de plusieurs pièces, il les assemble. Il procède également aux finitions : polissage, ébavurage, traitement thermique… Il participe aux essais et effectue les retouches. Enfin, il peut entretenir et réparer les outillages de presse d'un atelier.
Le mécanicien-outilleur exerce son activité dans les PME de fabrication d'outillages ou dans les entreprises du secteur de l'automobile, de l'aéronautique et de la mécanique.
BAC Pro
Bac pro Fonderie
Ce technicien d'atelier fabrique des pièces métalliques. Il prépare un alliage, le fait fondre dans un four à fusion et le coule dans un moule. La pièce obtenue, il exécute les opérations de parachèvement, de traitement thermique et de surface. Il réalise des pièces à l'unité ou en série, alliant savoir-faire manuel et technologies performantes (automatisme, robotique, chaîne numérique, simulation…). Sa technicité lui permet d'intervenir dans l'organisation et l'amélioration de la production, le contrôle, la maintenance, la sécurité. Avec de l'expérience, il anime une équipe.
Il travaille dans les entreprises de fonderie qui produisent des pièces pour l'aéronautique, l'automobile, l'industrie spatiale et navale…
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Bac pro Technicien modeleur
Le titulaire de ce bac pro produit des outillages (moules, maquettes ou encore outils de découpe) pour la mise en forme des matériaux (plastique, verre, métal…). Il suit une méthode de fabrication pour laquelle il choisit des matériaux, des moyens de production et des étapes de fabrication en tenant compte des spécifications des documents techniques précisant les caractéristiques fonctionnelles de l'outillage à réaliser, des éléments constituant ses différentes parties et des équipements disponibles dans l'atelier. Le technicien réalise les éléments et procède à leur assemblage, assure la finition, contrôle et met au point les outillages en utilisant les techniques différentes (conception assistée par ordinateur, conception et fabrication assistées par ordinateur, machines à commande numérique, logiciels spécialisés, etc.). Il renseigne les documents relatifs au contrôle qualité et à la gestion de la production. Ce technicien trouve un emploi le plus souvent dans de petites entreprises très spécialisées qui travaillent en sous-traitance pour l'automobile, l'aéronautique mais aussi pour toute l'industrie des biens d'équipement. Les élèves de ce bac pro se présentent obligatoirement aux épreuves du BEP intégré Modeleur maquettiste (facultatif pour les apprentis).
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Bac pro Technicien outilleur
Le technicien outilleur effectue les opérations d'usinage et d'assemblage pour produire en grande quantité des objets très divers (bouteilles plastiques, carrosseries de voitures, couverts de table, façades de téléphones mobiles, etc.). Ces outillages, qui peuvent être très élaborés, concernent des procédés variés : découpage, emboutissage et moulage des matériaux métalliques, injection des matières plastiques, forgeage, matriçage, estampage.
Il possède une culture générale, scientifique et technologique qui lui permet d'intégrer de nouvelles techniques de définition et de fabrication des produits (conception et fabrication assistées par ordinateur, par exemple). Sur son lieu de travail, il est amené à analyser des données relatives à l'outillage. Il participe à l'optimisation des procédés de réalisation des outillages et des processus associés. Il met en œuvre les machines à l'aide de logiciels spécialisés : commandes numériques d'usinage, électroérosion, etc. Il contrôle et met au point les outillages. Il coordonne les travaux d'une petite équipe afin de respecter le plan prévisionnel de fabrication.
Le diplômé peut travailler dans des entreprises de construction d'outillages ou dans les services de fabrication et de maintenance intégrés à des entreprises de construction automobile, de l'aéronautique…
BTS
BTS Fonderie
Ce technicien supérieur est un spécialiste des procédés de fabrication de pièces métalliques par moulage. Ces compétences lui permettent d'intervenir à toutes les étapes de la fabrication d'une pièce : industrialisation, méthodes et suivi de production, production, contrôle.
Son expertise est aussi sollicitée par les bureaux d'études pour qu'il formule un avis en vue d'optimiser la relation « pièce-alliage-procédé » du point de vue de la faisabilité, de la qualité, des coûts et des délais. Il intervient donc aussi au niveau de l'étude des commandes clients.
Il sait exploiter un modèle informatique (logiciel de CAO, simulations, maquette virtuelle, chaîne numérique…), utiliser le prototypage rapide, pratiquer les contrôles non destructifs. Il agit dans l'entreprise pour améliorer la qualité, la sécurité, les conditions de travail, les impacts sur l'environnement. Il participe à la formation et à l'évolution professionnelle des personnels.
Les emplois se situent dans l'industrie de la fonderie. Les entreprises lui confient les fonctions de responsable d'atelier ou d'un secteur de production (organisation de la production) ; technicien méthodes atelier (lancement et suivi des productions) ; technicien de laboratoire (analyse et interprétation des résultats d'essais pour les alliages…) ; technicien méthodes en fonderie (conception des processus) ; expertise technique dans l'entreprise et auprès des clients.
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BTS Forge
Ce diplôme forme des théoriciens et des praticiens de la transformation du métal, à chaud et à froid, en produits massifs. Leurs compétences couvrent les domaines de la mécanique, de la métallurgie, de la technologie, de la déformation de tous les métaux et des traitements thermiques associés.
Selon la taille et la nature de l'entreprise qui l'emploie, le technicien supérieur peut exercer diverses fonctions : études, méthodes, achats, ordonnancement, contrôle des outillages, fabrication, contrôle qualité, animation et coordination. Il débute souvent à la production, où son rôle consiste à assurer la conformité du produit à tous les stades de la transformation. Aux méthodes, il recherche les procédés permettant d'améliorer la rentabilité et pilote la conception des outillages ou la fabrication de prototypes. Il peut aussi établir les gammes opératoires, définir les temps de fabrication...
Le titulaire de ce BTS travaille dans toutes les entreprises où la forge est omniprésente : l'automobile, l'aéronautique, la construction ferroviaire, la robinetterie..
Master
Master sciences et génie des matériaux
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Master mécanique et physique pour l'environnement spécialité mécanique des matériaux et des structures
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Master chimie spécialité chimie des matériaux
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Master bio-ingénierie spécialité biomatériaux
Diplôme d'Ingénieur
Diplôme d'ingénieur de l'École supérieure de fonderie et de forge (ESFF) en convention avec l'Ecole nationale supérieure d'arts et métiers (ENSAM) en partenariat avec l'Institut d'études supérieures de fonderie et de forge (IESFF)
Diplôme de spécialisation
Diplôme de spécialisation de l'école supérieure de fonderie et de forge expert(e) en conception et production de produits de fonderie et de forge